Poisson d’avril ! Car c’est le 1er
avril que nous sommes arrivés à… Manaus, mais bien en bateau. Lucas, le
propriétaire de l’appartement que nous avons loué, est venu nous chercher en
voiture, et nous a emmenés jusqu’à la résidence où nous allons habiter pendant
une dizaine de jours. C’est un appartement sympa, je dirai même très
agréable !
Juste en face de la résidence, il y a un petit centre commercial, et cinq minutes plus loin il y en a un autre beaucoup plus grand. Quand nous y sommes allés, nous avons joué au mini-golf, et nous avons aussi fait un simulateur qui faisait assez peur.
Ma chambre et celle d'Albert |
Juste en face de la résidence, il y a un petit centre commercial, et cinq minutes plus loin il y en a un autre beaucoup plus grand. Quand nous y sommes allés, nous avons joué au mini-golf, et nous avons aussi fait un simulateur qui faisait assez peur.
Grand centre commercial |
9 trous |
Simulateur du train fantôme |
Ecran de contrôle |
On dirait des zombis |
Nous sommes aussi allés visiter le zoo, qui se trouve dans une base militaire. Il était bien mais un peu petit. Nous avons vu pour la première fois des lamantins, que les Brésiliens appellent aussi des « vaches marines », car ce sont de grosses bêtes qui allaitent leurs petits alors qu’elles vivent dans l’eau, dans le fleuve Amazone. A la fin de la visite, juste comme nous sortions, nous avons entendu un grand rugissement. On a cru que c’était un animal qui s’était échappé, mais en fait c’était le cri de guerre de soldats qui faisaient un exercice dans les bois !
Entrée du zoo |
Téléphone public |
Affreux boa |
Anémone se protège du soleil |
Lamantin sous l'eau |
trop mignon ! |
Drôle de zèbre |
Un autre jour nous sommes allés sur une plage au bord du Rio Negro. C’est une vraie plage de sable, naturelle et avec de l’eau assez propre, mais c’est au bord d’un fleuve. Le Rio Negro est le fleuve qui se jette dans l’Amazone, à l’endroit où se trouve Manaus. Cela nous a rappelé les « praia fluvial » du Portugal, d’ailleurs au Brésil on parle aussi le portugais. Ce n’est pas évident pour moi, parce qu’on croit que ça ressemble à de l’espagnol, mais en fait les gens ne comprennent rien quand je leur parle en espagnol, et moi non plus je ne comprends rien quand ils me parlent en portugais du Brésil !
Un autre après-midi, nous avons pris un petit bateau
pour aller voir le musée du caoutchouc, qui se trouve sur une île à environ une
demi-heure de bateau de Manaus (ici il n’y a pas de route pour sortir de la
ville, tous les déplacements se font en bateau). C’est un très bel endroit, qui
autrefois appartenait à un riche commerçant en caoutchouc. C’était très
impressionnant de faire rebondir les grosses boules de caoutchouc. On a aussi
vu les cabanes qui servaient de maisons aux seringueros. C’est comme cela qu’on
appelait les hommes qui récoltaient le caoutchouc, et qui étaient traités comme
des esclaves. La dame qui nous faisait visiter nous a montré comment on récolte
le caoutchouc, en faisant une incision dans le tronc de l’arbre, puis en
plaçant un petit gobelet en fer pour recueillir la sève, qu’on appelle le
latex.
Demain nous quittons Manaus et nous allons à Belem, qui est à l’embouchure de l’Amazone, au bord de l’Océan Atlantique. Mais cette fois nous prenons l’avion, c’est-à-dire que nous allons mettre deux heures, au lieu de presque une semaine en bateau !
Dans la lancha privatisée pour l'occasion |
musée du caoutchou |
l'ancienne maison du "baron" |
le magasin |
Les graines de caoutchou |
Les piques de cet arbre sont utilisés comme flèches de sarbacanne |
Boule de caoutchou |
Laura dans la petite maison dans la prairie |
Fabrication des boules de caoutchou |
Retour à Manaus |
Demain nous quittons Manaus et nous allons à Belem, qui est à l’embouchure de l’Amazone, au bord de l’Océan Atlantique. Mais cette fois nous prenons l’avion, c’est-à-dire que nous allons mettre deux heures, au lieu de presque une semaine en bateau !
aéroport |
Poissonnerie de l'aéroport |
Les rios vus d'avion |
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